
considéré comme « le peintre de la lumière néo-calédonienne », à travers une sélection de peintures, photographies et objets personnels issus de l’atelier des artistes et de diverses collections publiques et privées.
Ces deux paysagistes rouennais, installés à Nouméa de 1929 à 1935,
ont fait de l’archipel leur principal sujet d’étude, posant sur leurs modèles,
comme sur la colonie, un regard dégagé des clichés de l’époque.
Paul et surtout Roland Mascart porteront une attention toute particulière aux Kanak qu’ils peindront dans leur vie quotidienne, en tribu, en ville, sur la plage, aux îles Loyauté, à Saint-Louis, à Hienghène, et même au travail, sur les sites miniers du nord. "
"
http://www.joel-paul.com/?p=7035

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire